Q&R avec Håkan Nordin, Responsable du Développement Durable

Bolon fait une Promesse. C’est une étape vers l’accomplissement de notre vision pour proposer le meilleur revêtement de sol durable du marché. Håkan Nordin, responsable du développement durable, travaille sur ce sujet depuis près de 40 ans. Nous l'avons interrogé sur la circularité et sur ce qui a changé dans le discours au cours de ces dernières années.

- Dans les années 80, la responsabilité des entreprises telle que nous la concevons aujourd'hui n'existait pas, le climat n'était pas au cœur des priorités et les différents types de certifications environnementaux n'étaient pas encore nés. Mais aujourd'hui, le climat figure en première place des préoccupations mondiales et touche tous les types d'entreprises. Dans le même temps, le développement de l'économie circulaire évolue et la plupart des entreprises ont mis sur pied une équipe chargée de la durabilité dont le pouvoir et l'importance ne cessent de croître.

Dans le cas de Bolon, quelles sont les questions les plus fréquemment posées en termes de durabilité ?  

- Elles portent notamment sur les matériaux recyclés et nos solutions de reprise de nos anciens sols ; nous constatons également que les questions relatives à l'impact sur le climat sont de plus en plus nombreuses. Grâce à notre engagement total en faveur de la durabilité et à notre volonté d'utiliser toujours plus de matières recyclées dans les années à venir, nous abordons à la fois la question du climat et celle du recyclage.

Comment aborder la promesse de Bolon pour 2028 et quels sont les aspects à ne pas négliger ?

- La Promesse désigne notre engagement à jouer un rôle majeur dans la lutte contre le changement climatique et à créer des produits qui s’inscrivent dans une économie circulaire. Elle s’étend à tous nos sols et à tous nos modèles et nous continuerons à fabriquer des sols exceptionnels et durables.

Globalement, quelle est, selon vous, la plus grande idée fausse sur le climat et la responsabilité individuelle ?

- Le changement climatique est à la fois un problème mondial et une réalité invisible dans la vie quotidienne. Ce n'est que lorsque nous sommes confrontés à des phénomènes météorologiques extrêmes que nous percevons le changement en cours. Cette invisibilité peut rendre l'action difficile et faire croire aux gens que "leurs actions ne vont rien changer". Le fait est que toutes les initiatives comptent et qu'elles doivent s'amplifier.

Au cours de vos nombreuses années de travail sur ces problématiques, quelle constatation et/ou leçon en avez-vous tirée ?

- Je suis convaincu que le mouvement lui-même doit être durable. Il s'agit de réduire l'impact de nos modes de vie, de notre société et de nos activités sur l'environnement. Nous devons donc trouver un rythme de changement qui s'inscrive dans la durée.

Pour en savoir plus sur notre promesse en matière de circularité de nos processus de fabrication et de réduction de notre impact climatique en ligne.

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